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Un journal personnel pour booster sa créativité ?

Qu’il se nomme Bullet Journal (BUJO pour les intimes), art-journal, journal du lâcher-prise, journal technique ou bien M3 journal, le journal personnel revient en force.

Pour le pratiquer de différentes manières depuis que j’étudie, je connais sa force. Il me permet vraiment d’atteindre mes objectifs tout en me faisant plaisir.

Il a différentes présentations :

Le bullet journal

L’art journal

Le journal du lâcher prise

Le M3 journal

La liste est non-exhaustive bien sur.

Tous permettent à terme un aboutissement et une évolution. Même si tous les projets qui vont être jetés sur ces journaux n’ont pas à être finalisés. A partir du moment où un journal est personnel, on fait un peu ce qu’on veut. Il existe cependant de grandes tendances. Alors pourquoi pas vous ? Là ? Tout de suite.

Un carnet, un vieux livre, un agenda ou bien encore quelques feuilles agrafées suffisent pour se lancer.

Pour certains, l’art journal permet de présenter sa technique artistique sur des doubles pages et de favoriser la créativité (crayon, fusain, esquisse ou croquis, collages ou photos).

Le carnet de lâcher prise est un journal qui permet d’évacuer les tensions, les émotions et favorise l’expression de l’artiste tous azimuts.

Le bullet journal est un journal de suivi des objectifs qu’ils soient persos ou professionnels ; on peut mêler les deux. Différentes techniques pour créer un bullet journal figurent sur internet avec beaucoup d’explications.

Et pourquoi pas un journal technique qui se présenterait sous la forme d’une étude, avec croquis, idées et apprentissage éventuel sur un sujet technique particulier ou sur plusieurs ?

Personnellement, j’ai eu à coeur de tester le principe d’un point de vue psychologique : j’ai découvert le bullet journal dans « psychologies magazine » ou plutôt redécouvert, car les étudiants tenaient ce type d’agenda au lycée. A l’époque, il y a quelques années, nous décorions nos agendas en ce sens. Créativité à l’honneur : collage, petits mots et phrases fétiches, notes, objectifs, croquis, petits dessins et grandes envolées lyriques, etc.

Quand on reprend un journal de ce type quelques mois voire quelques années plus tard, on fait un point, on se pose : rien n’empêche de reprendre également les projets et idées qui y figurent. Une chose est sure, on se rappelle qui on était, on retrouve ce qu’on voulait faire, ce qu’on a réalisé, ce sur quoi on a travaillé par exemple.

Bref, le journal personnel peut mêler toutes les techniques et devenir un véritable « grimoire ». Il y en a de somptueux, il suffit de taper journal cuir sur Amazon, ou bien bullet journal pour voir défiler tout un tas de supports de différentes tailles.

Pour exemple, après avoir testé le principe depuis longtemps sur des agendas puis des cahiers de toutes sortes, j’ai choisi un grand cahier recouvert de (faux ?) cuir, avec (vraie ?) pierre semi-précieuse incrustée, dont le papier est une expérience sensorielle à lui seul, en format A4 parce que j’aime dessiner avec plusieurs techniques sur du format pas trop petit (crayon, fusain, pastels secs ou gras, ou bien encore aquarellables).

D’autres préféreront un carnet en A5 (plus petit), facilement transportable, à trainer partout comme carnet de croquis, de la taille d’une tablette.

Ou bien encore plus petit, l’agenda à placer dans son sac ou sa sacoche pour n’oublier aucune idée, ne rater aucune réflexion, et tous petits croquis.

On peut également avoir un journal pour chaque domaine, ou bien en créer un pour chaque période.

Par admin