Au départ, XML est un langage de structuration (tout comme HTML).
Comme son nom l’indique, il est là pour structurer des données d’une façon à pouvoir les mettre en forme de différentes façons (par exemple, à l’aide de feuilles de style). Et qu’est ce qu’on obtient au final ? Un gain de temps. On en perd un peu au départ mais au final on en gagne énormément : on peut par la suite traiter ces données comme on le souhaite et changer régulièrement de présentation en très peu de temps.
Des formats ou outils logiciels utilisant XML sont apparus et actuellement demandés en entreprise, tels que DocBook et DITA par exemple.
Je vais prendre quelques exemples de ce que j’ai pu réaliser facilement grâce à XML (même si j’émets des réserves sur l’efficacité totale de certains processus qui doivent être améliorés et qui le seront très bientôt, j’en suis sure) : la migration d’un blog Wordpress pour exemple, à l’aide d’une extension qui gère un fichier .xml.
XML peut aussi se justifier pour remplacer une base de données mobile (style sqlite) de manière aussi légère et plus simple selon les cas d’utilisation.
XML peut, dans le cas de création d’un Ebook sur InDesign, donner un ordre de lecture qui préserve la mise en page du document pour passer sous un autre logiciel. Certaines mises en page sont complexes et doivent trouver un moyen de communiquer simple et efficace d’un logiciel à l’autre.
On va retrouver les "outils" ou "langages" de rédaction structurée dans la documentation technique le plus souvent. Ils envahissent les systèmes d’information de l’entreprise (ou du particulier) depuis que le Web s’est imposé.
Ces outils jaillissent dans le Reporting évidemment, ils sont idéaux dans cette utilisation.
Ajax évidemment, et PHP, utilisent XML dans certains cas de figure. L’informatique Web et en particulier le Webmastering les apprécient.
